Pendant longtemps, communiquer dans le secteur du jardin, des semences ou de la biodiversité semblait suivre une règle implicite : un vert très vert, une feuille en logo, un ton institutionnel… et un site web qui date parfois de l’époque où l’on imprimait encore les factures. Mais quelque chose est en train de bouger, 2025 on a beaucoup entendu le mot biodiversité, en 2026 on entendra sûrement parler des marques qui font grandir ce mot et lui donne toute son importance.

1. Le vivant change, et sa communication aussi

Les acteurs du végétal n’ont plus le même public qu’il y a dix ans. De nouvelles générations jardinent, les consommateurs cherchent du sens et les marques engagées développent des projets plus ambitieux, plus structurés et plus visibles.
Forcément, leur image finit par devoir suivre le mouvement, je suis très heureuse de voir de jeunes entrepreneurs se soucier de leur image. Ce qui était “suffisant” hier ne suffit plus aujourd’hui. Le design dans le milieu de l’écologie et du « bon pour la planète » n’est plus un bonus esthétique : c’est une clé de crédibilité.

2. Le “design vert cliché” n’est plus un passage obligé

Soyons honnêtes : tout le monde a déjà vu cette fameuse feuille générique, posée au-dessus d’un nom en serif un peu fatigué. En 2026, ce code visuel ne dit plus “nature”, il dit “on n’a pas pris le temps”. Les marques du vivant peuvent être corail, bleu nuit, moutarde ou crème. Elles peuvent être minimalistes, audacieuses, douces, très contemporaines…
Du moment que c’est cohérent, tout est possible. Le public le sent immédiatement : une identité bien pensée, c’est une posture assumée. On peut imaginer un éventail de possibilités graphiques du moment que celui-ci est respectueux des engagements de la marque.

3. La modernisation n’est pas une menace : c’est un terrain fertile

On me demande souvent : “Comment moderniser sans perdre notre âme ?” La réponse est simple : en partant du vivant. Pas des tendances, pas des effets de mode, mais de ce qui fait la singularité de l’organisation : ses valeurs, sa mission, son rapport au temps, au geste, au sol et aux gens.

Je suis persuadée qu’on peut s’inspirer des tendances sans être dans l’excès, il suffit d’être vrai.

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4. En 2026, ce qui compte, c’est la clarté

Les projets du vivant ont besoin d’une identité forte. Entre les nouveaux labels, les attentes du public, les enjeux écologiques et la concurrence qui augmente… il faut être immédiatement identifiable. Une structure engagée qui communique clairement, c’est une structure qui inspire confiance.

Et cette confiance, elle se gagne avec un univers maîtrisé :
— une palette pensée,
— un logo simple mais fort,
— un ton reconnaissable,
— des visuels identitaires.

Le design n’est pas là pour “faire joli” : il permet de montrer qui vous êtes. Il y a ce petit truc en plus qui fait que la marque est reconnaissable. Je vous invite à lire l’article : ici

5. Comment moderniser votre image sans renier votre ADN ?

Quelques repères simples peuvent déjà transformer votre communication :

• Simplifier ce qui peut l’être
Parce que le minimalisme n’est pas froid : il laisse respirer. Le chois d’une feuille stylisée c’est peut être l’option numéro 1 pour remplacer un logo illisible.

• Choisir une couleur qui raconte quelque chose
Pas “du vert parce qu’on est dans la nature”. Une nuance choisie, c’est une intention. Se démarquer c’est peut être choisir un vert qui ose le contraste un style graphique.

• Assumer une matière
Illustration, photo brute, texture, trait fin…Ce que vous choisissez crée votre signature et c’est ici que l’identité visuelle va se creer.

• Adopter un ton clair et humain
Un discours trop institutionnel éloigne. La sincérité touche.

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6. Le secteur du vivant avance. C’est à nous de le dessiner.

Ce qui se joue aujourd’hui, ce n’est pas une tendance graphique. C’est l’évolution d’un secteur entier qui cherche à mieux se raconter. Il montre sa beauté, son utilité et son engagement. Le design intervient : au croisement du sensible et du stratégique. Ce mouvement est déjà en marche, je l’ai saisi dans ma pratique il y a déjà plusieurs mois et je suis fière aujourd’hui de créer des identités visuelles qui bousculent les codes du secteur. Bref, il ne reste plus qu’à l’accompagner, avec justesse et conviction.

Si vous être en pleine refléxion et que vous voulez donner un nouveau souffle à votre identité nature, écologique; c’est le moment de me contacter !